La sculpture s’inscrit dans l’interaction entre le pincement de la couche supérieure de la pelouse et le soulèvement de celle-ci par une pince à linge de six mètres de haut.
L’artiste joue avec les échelles et les proportions : nous voyageons dans l’univers de Gulliver pour mieux nous rappeler que l’on marche sur une peau que l’on appelle la planète Terre.