L’artiste nous propose une architecture en bois de mélèze sous la forme d’une spirale.
Protégé des regards, le visiteur entame un parcours intime – proche de l’écorce de l’arbre et des branches – qui débouche sur une impossibilité d’aller plus loin sinon dans l’imaginaire ou la contemplation du parc par de petits trous percés dans la palissade qui nous protège d’une chute possible parce que l’on a pris de la hauteur dans ce remarquable tulipier.